Pourquoi ces départs sont-ils toujours des sortes de fuites, des sortes de cures de rétablissement pour mon petit coeur broyé?
Je fixe l'astre brûlant. Mes rétines s'exclament et réclament un répit, un petit moment. C'est chaud, mais ça brûle, arrête!
Car nous savons nous, nous croyons nous, nous sommes sûrs nous: ils ne font que dormir d'un sommeil profond.
J'attribue des pensées qu'ils n'ont jamais eu l'idée, ni l'envie de penser, ni d'exprimer.
Istanbul, décembre 2015 – Ce que je déteste par-dessus tout c’est que les autres restreignent ma […]